Les préparateurs

         

       

     

     

    

Touring Superleggera Disco Volante Spyder

La Disco Volante première du nom a l’âge vénérable de 63 ans. A Genève, Touring Superleggera présente une version Spyder de la nouvelle Disco Volante dévoilée il y a 3 ans.

 

La Disco Volante est basée sur l’Alfa Romeo 8C et certains crieront sans doute au scandale de toucher à une telle voiture. C’est oublier bien vite que pendant des dizaines d’années les voitures connaissaient plusieurs carrosseries dans leur vie, voire plusieurs moteurs ou même que l’on achetait un châssis nu que l’on faisait carrosser par une maison turinoise, milanaise ou française. Cette Disco Volante n’est que l’héritière de ces maisons aujourd’hui mal en point (ou disparues).

 

La Disco Volante repart d’une Alfa Romeo 8C Spyder et rend hommage à son ancêtre. Hommage seulement car la Disco Volante Spyder première du nom était taillée pour la performance aérodynamique. Cette Disco Volante Spyder nouvelle génération est plus utilisable au quotidien pour peu qu’un propriétaire de 8C Spyder se décide à faire effectuer le recarrossage. A noter que seuls 7 exemplaires maximum seront produits.

Les concept-cars

DS E-Tense

Qui dit Salon de Genève dit forcément concept-car. Et si l’on veut en voir un beau, c’est sur le stand DS qu’il faut aller avec l’E-TENSE. Qu’a-t-il de spécial ? Tout d’abord, un design somptueux avec une teinte "Vert Amétrine métalisée" qui saute littéralement aux yeux. Très racé, le coupé sportif de 1.800 kg reprend les codes stylistiques DS, dont les fameux chromes entourant la grille de calandre. Une ligne chromée est également présente le long du capot et du toit, un peu comme une arrête dorsale. Petit clin d’œil à la DS de 1955 : les clignotants sont intégrés au pavillon. Autre constat : comme pour le concept Divine, présenté lors du Mondial de Paris 2014, l’E-TENSE ne possède de lunette arrière. Les ingénieurs ont donc, à nouveau, intégré une caméra à l'arrière pour la rétrovision.

 

A l’intérieur, le prototype propose un habitacle sportif, futuriste et high-tech. Le tableau de bord possède pas moins de trois écrans numériques dont un derrière le volant et l'autre sur le sommet de la planche de bord. Pour finir, le concept possède ni plus ni moins qu’un moteur électrique de 402 ch, lui permettant de franchir la barre des 100 km/h en un peu plus de 4 secondes.

Italdesign GTZero

Italdesign Giugiaro dévoile au Salon de Genève son dernier concept en date, baptisé GTZero. Il doit son nom à son statut de GT électrique, à zéro émission.

 

Au premier regard, on remarque que ce prototype de GT prend l'allure d'un break de chasse avec un design de vitre arrière bien singulier. Il a été dessiné sous la direction de Filippo Perini, le nouveau patron du design d'Italdesign Giugiaro depuis le mois de septembre dernier après avoir notamment travaillé chez Lamborghini.

 

Posé sur des jantes de 22 et 23 pouces, le concept GTZero est doté d'un châssis monocoque en carbone et de quatre roues directrices. Il embarque trois moteurs électriques pour développer 360 kW, soit 489 chevaux, avec une vitesse de pointe limitée électroniquement à 250 km/h.

 

La maison italienne Italdesign Giugiaro annonce une autonomie de 500 km avec un temps de recharge des batteries à 80% effectué en 30 minutes. L'habitacle est épuré au maximum pour mettre en évidence le grand écran tactile OLED vertical.

Lexus LF-LC Concept

Les concepts Lexus ont pour habitude de prendre l'appellation "LF", et après le séduisant coupé LF-LC, il y a déjà quelques temps, Lexus nous présente cette fois la LF-FC. Ce concept préfigure une prochaine berline à hydrogène.

 

La pile à combustible fonctionnant à l'hydrogène n'est pas une technologie étrangère au groupe Toyota puisque la Mirai est d'ores et déjà disponible sur le marché. Lexus, division premium de Toyota, va profiter de l'expérience du groupe dans le domaine puisque la marque japonaise présentera à Genève un concept de berline baptisé LF-FC qui préfigure une future "berline porte-dreapeau" à hydrogène chez Lexus. 

 

Pile à combustible, "technologies de commandes gestuelles", conduite autonome, ce concept LF-FC embarque tout ce qui est à la pointe dans l'automobile aujourd'hui. Ce concept n'est qui plus est pas qu'un simple véhicule de salon qui disparaîtra puisque Lexus explique bien que l'hydrogène fait partie de la stratégie d'avenir de la marque, en tout cas dans un premier temps sur un véhicule "image" pour le constructeur.

 

Côté style, Lexus annonce que ce concept LF-FC arbore un nouveau design qui pourrait déjà donner quelques indications sur les futurs produits de la marque.

Opel GT Concept

L’Opel GT Concept ne se « contente pas de copier son ancêtre » : il réinvente l’esprit de la GT des origines, sans verser dans la nostalgie et surtout pas dans le design rétro. Pour ce faire le dernier-né de la marque allemande prend la forme d'un coupé deux portes avec faux arrière court et une extrémité avant agressive. La conception est dominée par une ligne de signature rouge qui « divise le corps du véhicule horizontalement » alors que les portes n’ont, ni poignées, ni rétroviseurs latéraux. 

De ce fait, le conducteur et le passager peuvent accéder à la cabine en appuyant sur un « touchpad » qui est intégré dans la ligne rouge sur le toit. Quant aux miroirs qui remplacent les rétroviseurs, deux caméras ont été placées à l’arrière du passage des roues. Les images sont transmises à deux moniteurs sur la droite et la gauche de l'habitacle. 

 

Les trois cylindres ne sont pas connus pour leur caractère sportif mais le Concept GT tente de changer les normes avec sa nature sportive et moderne. Equipée d’un 3 cylindres à essence turbo de 1,0 litre, l’Allemande développe 145 chevaux à l'essieu arrière par une transmission à six vitesses qui peut être commandée par directement sur le volant. Grâce à cette configuration, l’Opel GT Concept avale le 0 à 100 km/h en moins de 8 secondes, pour une vitesse de pointe de 215 km/h.   

Pininfarina H2 Speed

Pas question pour une maison comme Pininfarina de manquer le traditionnel rendez-vous du salon de Genève. Et cette année, le spécialiste du style transalpin est venu avec un projet pour le moins étonnant. Pour une fois, Pininfarina ne croque pas les lignes d'une sportive Ferrari.

 

Ou plutôt si, puisque cette berlinette blanche actuellement visible dans les allées du salon de Genève fait directement référence à la Pininfarina Sigma Grand Prix de 1969, une voiture de course équipée d'un V12 Ferrari développant quelques 436 chevaux.

 

Mais la barquette fermée d'aujourd'hui ne cache aucun piston sous son capot. C'est en effet une pile à combustible qui permet d'alimenter sa motorisation électrique en énergie, et la H2 Speed ne rejète que de l'eau à son pot d'échappement.

 

Ce qui ne l'empêche pas de développer quelques 503 chevaux en puissance maximale, et d'abattre l'exercice du 0 à 100 kilomètres / heure en tout juste 3,4 secondes.

 

Construite en collaboration avec les spécialistes franco-suisses de GreenGT, la H2 Speed ne nécessite que trois minutes pour remplir en entier son réservoir de dihydrogène. Reste à savoir ce que Pininfarina et GreenGT prévoient pour son avenir en compétition : cette étonnante voiture de course ne correspond, pour l'instant, à aucun règlement technique dans les championnats FIA.

Skoda VisionS

Au Salon de Genève, la marque tchèque dévoile sur son stand la direction de style à venir en matière de design par le biais de la VisionS. Le concept dispose d'un carénage avant élégant avec une calandre mince flanquée de phares LED. A l’arrière le SUV de sept places présente une ligne élancée avec du caractère, et un toit légèrement en pente. Le concept a également été équipé de poignées de porte encastrées, d’une double sortie d'échappement et d’un becquet arrière. 

Dans l’habitacle, Skoda offre à son concept un ensemble numérique de haute volée, comprenant un tableau de bord à écran tactile, un système d’infodivertissement à l’avant et à l’arrière, des smartphones qui ont été intégrés dans les accoudoirs et une sellerie en cuir haute gamme avec quelques ajouts en métal.

 

La puissance est fournie par un une motorisation hybride rechargeable qui se compose d'un moteur essence de 1,4 litre TSI et de deux moteurs électriques alimentés par une batterie lithium-ion de 12,4 kWh. L’ensemble délivre 225 chevaux pour une 0 à 100 km/h effectué en 7,4 secondes pour une vitesse de pointe de 200 km/h. Le dernier concept de Skoda peut également rouler pendant 50 km en tout électrique.

La version de production du Vision S sera mise en vente à l’automne 2016, rien n’est annoncé pour le prix, mais pour être concurrentiel, le SUV devrait tabler sur un tarif aux alentours de 40.000 euros. 

Volkswagen T-Cross Breeze

On retrouve à travers les traits de ce SUV les autres modèles du constructeur allemand, comme le Tiguan ou encore le concept T-Roc. Pour le situer, le T-Cross Breeze s’inscrit dans la même catégorie qu’un Audi Q2, avec ses 4,13 mètres de longueur. A l’intérieur, Volkswagen a misé sur les commandes tactiles. Deux écrans centraux sont disponibles, ainsi qu’une commande gestuelle.

 

Sous le capot, le T-Cross Breeze est doté d’un moteur 1.0L TSI de 110 chevaux, principalement équipé d’un mode de récupération d’énergie au freinage. Avec seulement 1.250 kilos, le SUV serait capable d’effectuer un 0 à 100km/h en 10,3 secondes, et pourrait parcourir 800 km avec un seul plein. Et comme pour la Up ! le T-Cross est équipé (de série) du système audio Beats, qui lui fournit une puissance de 300 watts.

 

Si ce SUV cabriolet n’est pour le moment qu’un concept, le constructeur allemand pourrait envisager bientôt l’entrée sur le marché d’un tel modèle.

Volkswagen Budd-e

Après un passage outre Atlantique sur le Salon CES 2016 de Las Vegas au mois de janvier dernier, le concept-car Volkswagen Budd-e est désormais présenté en Suisse. Ce Combi réinterprété dispose de deux motorisations électriques, l'une sur chaque essieu, pour une puissance combinée de 305 chevaux. Les batteries sont intégrées dans le plancher et permettent une autonomie zéro émission pouvant atteindre plus de 500 kilomètres. Côté performances, le groupe de Wolfsburg annonce un exercice de 0 à 96 km/h en 6,9 secondes et une vitesse maximale de 180 km/h.

 

A bord, le conducteur fait face à un volant tactile et à une instrumentation entièrement digitale. L'ambiance est futuriste. Les différentes fonctions de l'engin sont commandables par la voix et les gestes, alors qu'à l'arrière Volkswagen a prévu une configuration en forme de banquette : idéal pour profiter de l'énorme écran intégré au vitrage.

 

Le Volkswagen Budd-e Concept devrait déboucher sur une version de production mais il faudra patienter jusqu'à l'horizon 2019.

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